Avec pas mal de retard j’ai enfin essayé Google Desktop.
C’est pas mon genre de mettre aussi longtemps pour tester un nouveau logiciel ou service, mais ces derniers temps j’ai passé beaucoup de temps sur mon Mac.
Mon PC sous Windows ne passait son temps qu’à bouffer ma bande passante en faisant tourner le seul logiciel qui n’existe pas sur Mac OS X. À vous de deviner lequel…
Donc Clairement et ben Google Desktop ça déchire.
Techniquement c’est du Google donc c’est hyper bien foutu.
Il ne bouffe pas trop de ressource. En background y’a uniquement 3 process qui tournent :
GoogleDesktop.exe – 2800k
GoogleDesktopCrawl.exe – 6216k
GoogleDesktopIndex.exe – 6992k
Dans un premier temps il faut que l’application crawl tout le PC pour recueillir les informations importantes. Elle se charge de faire cela dès que le PC n’est pas utilisé.
Ensuite et ben c’est totalement invisible.
On accède à Google Desktop en local à l’adresse http://127.0.0.1:4664/&s=clédeprotection, soit directement sur les pages de résultat de http://www.google.com. En haut de la page apparaissent alors les documents présents sur le disque en rapport avec la requête effectuée.
Ce qui est bien c’est que ce n’est pas lié à Internet Explorer. Ça fonctionne nickel avec Firefox.
Google Desktop marche particulièrement bien pour les emails si on utilise Outlook ou Outlook Express. Dans ce cas les résultats des recherches apparaissent directement dans le navigateur Internet. Pour le reste, les images par exemple, lorsqu’on clique sur un lien, elles s’ouvrent avec le programme par defaut de Windows.
Vraiment c’est une révolution. C’est clairement l’illustration de ce remarquait Steve Jobs lors de sa première démonstration de Spotlight dans Mac OS 10.4 (Tiger).
Il est anormal de trouver plus rapidement une information sur un serveur situé à l’autre bout du monde que sur son propre disque dur.