Facebook vient de racheter Friendfeed. Les deux meilleurs outils de social networking s’unissent, et c’est une très bonne nouvelle.
Leurs points communs : ils sont tous les deux très bons techniquement et placent l’expérience utilisateur au centre de leur business.
Imagini propose une application de social networking super sympa.
Elle permet de définir sa personnalité et ses souhaits (personality et wishes) à partir des choix que l’on fait dans une série de photo illustrant différentes ambiances.
On peut ensuite comparer son profil à celui des autres utilisateurs, qu’on les connaisse ou pas.
C’est très original, et bougrement intéressant d’un point de vue business, car le profiling quoi qu’on vende, c’est utile.
Mon compte est visible ici (http://friends.imagini.net/julk/).
Grâce à lui Imagini calcule mes ten wishes affichés dans ce widget:
Merci à Patrice pour sa découverte et son invitation.
Wallop est un nouveau site de social networking assez original.
L’une de ses originalités vient du fait qu’il est originaire de Microsoft Research.
Une autre originalité : il est entièrement en Flash.
Alors oui à l’annonce de ces deux caractéristiques j’aurais du m’enfuir, mais non je ne suis pas comme ça.
J’ai créé mon compte (www.wallop.com/jul), je fais le tour et je vous balance des invitations si ça vous dit de venir voir à quoi ça ressemble.
Laissez un commentaire pour les invits.
Je ne prends pas assez le temps de lire Mashable.
Je pense que c’est lié au fait qu’inconsciemment je réalise que j’aurais pu faire de sacrés hold-up si j’avais eu la non flemmardise de développer des trucs à base de social networking ailleurs que sur mon serveur de développement.
Mashable est maintenant disponible en français.
On va donc pouvoir suivre en live la ruine de nombreux investisseurs qui misent tous en même temps sur la même chose.
Bon je sais c’est un peu résumé, mais j’ai pas encore fini la lecture de Finance d’entreprise de Pierre Vernimmen. (Thanks Champi)
En même temps quand j’aurai fait le tour de la corporate finance, je pense que j’aurai plus envie de me mettre à participer à des mouvements révolutionnaires qu’au web 2.0.