Nick Oliveri

Era Vulgaris

Maintenant que Xavier passe par ici de temps en temps, je vais publier les excuses publiques que je lui dois.

Quand Nick Oliveri a quitté les Queens of the Stone Age, ou quand il s’est fait jeté, je ne sais pas trop, Xavier m’avait alerté sur le fait que ce n’était pas une nouvelle anodine.
À l’époque et par pure provocation comme d’habitude, moi j’avais dit que ça ne changerait pas grand-chose.

Avec du recul je me rends compte que mon affirmation était motivée par le fait que j’ai toujours été surpris de voir Nick Oliveri si mou sur scène, encore plus mou que Josh Homme.
Mon inconscient s’était toujours résolu à l’équation bassiste punk aimant se foutre à poil et consommateur de substances = bête de scène .
Si on ajoute à cela le fait que j’ai toujours snobé les bassistes qui jouent avec un mediator, on tient la pseudo justification de mon erreur.

J’ai eu tort.
Lullabies to Paralyze passe encore mais Era Vulgaris ne fera pas pété le score de popularité de mon iTunes.
Il manque un truc pour faire de cet album un Rated R ou un Songs for the Deaf.

Peut être que le truc qui manque se consacre maintenant à Mondo Generator.
Si c’est bien ça, j’ai eu tort de penser du mal de l’auteur de Autopilot.

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3 commentaires

  1. Sur les marques de la pochette, on dirait que c’est une pochette de vinyl.

    D’ailleurs, si quelqu’un les veut plus, moi je vous les prend … ;-)

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